Depuis 1 an déjà, le vélopartage 2.0 prend de l’ampleur sur le continent asiatique. A l’inverse des systèmes de location déployés dans des villes comme Londres, Paris ou New-York, ces vélos peuvent se louer n’importe où.
Il suffit d’un smartphone et d’une application pour permettre à des millions de Pékinois de débloquer un cadenas et d’enfourcher un deux-roues pour la modique somme de 0,5 yuan (0,07 euro) la demi-heure. Arrivé à destination, le cycliste peut laisser son vélo où il le souhaite.
Les communes d’Ixelles, Etterbeek, Saint-Gilles et Bruxelles-Ville viennent d’adopter ce concept simple mais efficace à travers l’application « Billy Bike ».
"Elle permet de géolocaliser les vélos dans la rue. Ils sont attachés avec un cadenas connecté, une chaîne autour d’un poteau ou d’un arbre. Il suffit d’en réserver un et l’utilisateur dispose alors de quinze minutes pour arriver au vélo choisi et ouvrir le cadenas. C’est pareil quand il ne s’en sert plus, il dispose d’un temps limité pour le rattacher où il veut", explique Guillaume Verhaeghe dans un article de la Dernière Heure.
A Bruxelles, nous connaissons tous les fameux vélos jaunes appelés Villo ! qui permettent de les prendre d’une station à une autre pendant 30 minutes pour 30 euros par an ! Mais un autre vélo jaune a fait son apparition dans la capitale : le Obike. Même concept que le Billy, ils se trouvent un peu partout, accroché à un arbre ou sur un parking vélo. 500 vélos sont disponibles à Bruxelles.
Alors que choisissez-vous entre tous ces types vélos partagés ?